LA LIBERTE’ – Poésie

CAMINOITALIAN VERSION 

La faculté de penser et d’opérer,
de choisir de manière autonome
entre vice et vertu,
ce que ma conscience
me conseille le plus.
Elle est Individuelle, ou collective,
si elle est d’une volonté générale
que je décide de seconder,
sans que personne ne veuille me l’imposer.
Aux autres ne devrait jamais nuire.

Elle est pour moi, pas un idéal
mais plutôt un amour
faire quelque chose
sans penser aux heures,
le manque d’un réveil;
le mot, dans ma bouche
la salive
pour dire non! à un commandement.
À obtenir en luttant, si c’est le cas.
Ou juste pour exprimer une opinion
pour s’exprimer soi-même, ou le propre art.
Aussi le silence en fait part.

Autodétermination, ma propre décision
le droit à la discrétion, à défendre ma forteresse.
Aller et venir sans permission
sans render compte des mes propres pas.
Le devoir de renverser un oppresseur
la force qui motive la rébellion, de l’opprimé l’espoir.
Sous la pluie c’est une danse.

L’air ouvert ou le champ vert
un chien sans laisse
s’il vous plaît
c’est l’haleine au parfum d’ail.
Elle c’est faire l’amour, sans protection
des sentiments, la naturelle manifestation.
L’éclat de rire de l’enfant
rester calme, si on rate un train.

En ces ans de plus en plus globalisés,
ces frontières ne devraient déjà pas exister .
Maltraitée surmenée et rudoyée.
On en a perdu le sens réel:
elle est devenu la cause de guerres, chose qu’elle déteste:
Elle aime seulement les révolutions.
Elle est devenu un slogan
son sens est vendu en liquidation:
la vente matérielle d’une idée.

Peut-être pour l’homme est-elle impossible à réaliser,
même juste de bien la penser
un château en l’air, de cartes
infaisables pour lui en faire part.
Une chimère ou une illusion
une imagination, une rêverie?

Mais pour moi de la vie reste le rêve
l’objectif, que je n’arrête pas de rêver,
et je n’en perdrai jamais l’espoir
même si moi j’étais le dernier a crever.
Meme si elle était seulement une utopie
comme si on parlait de l’anarchie.
Je vivrai toujours pour elle,
et pour elle j’ai écrit cette poésie :
“La liberté”.

*Andrea Giramundo, Montpellier 2015