Et puis,
soudain encore – comme toujours
les mots. Qui deviennent
un fleuve en crue
qui déborde saille et salit
tout le cerveau, il submerge;
jusqu’en arracher les certitudes.
Et puis,
il reste le froid
toujours ce maudit !
beaucoup
trop
de froid.
*La seule chose que le Diable craint, c’est la parole*
*Mailhac, 2018